Challenge du jour : est-il possible d’atteindre le Point Godwin dans un toast à la seule évocation de la voiture préférée de Barbie ? Georges dit oui !
Allons-y Francisco-Franco (laule) : la Coccinelle fût créée à la demande du Führer. Certains éléments aurait pourtant dû nous mettre la puce à l’oreille… Volkswagen… Volk… La voiture du volk quoi… Mais passons par-dessus l’océan de ta déception pour explorer les détails les plus vaseux. En 1933, le chancelier souhaite démocratiser l’automobile (la question « pour qui ?» provoque à l’époque quelques froids dans les dîners en ville). Il demande alors à l’ingénieur Ferdinand Porsche qui n’en perdait pas une pour lécher les bottes gammées, de concevoir une voiture populaire, financée par l’état.
Quelques éclatements de Chocapic plus tard (en 1938), la voiture la plus sympathique du monde était née, prenant au départ pour nom KdF Wagen, pour « Kraft durch Freude » (La force par la joie). Une habile référence au Front du Travail Nazi. Elle connut un succès immédiat et accomplit l’exploit de sortir du second conflit mondial sans perdre un cheveu.
Bref, « un amour de Coccinelle », comme l’ont suggéré les studios Disney il y a une cinquantaine d’années.
Bisou. Georges.
Tu ne me crois pas ?!