Maintenant que j’ai eu ton attention, il est temps de parler des vraies choses de la vie.
Comme des boobs. Comme de la branlette espagnole. Une véritable passion à la rédac’.
Également appelée « cravate de notaire », on lui devrait le qualificatif d’espagnole à cause des bourgeois qui se faisaient masturber par leur femmes de chambre espagnoles, de préférence aux poitrines avantageuses.
Pour les puristes, il semblerait qu’il y ait quand même une différence entre la branlette espagnole et la cravate de notaire : la première se pratique de face, et la seconde se pratique par derrière (ce qui permet quelques petits bonus supplémentaires).
Si tu as du mal à imaginer la position, voici une illustration d’époque :
Mais le plus amusant avec cette position, c’est qu’elle change souvent de nationalité selon les pays : si les Portugais, Italiens et Allemands parlent respectivement d’Espanholada, de Sapgnola et de Spanish, les Espagnols parlent quant à eux d’une Cubaine ou d’une Américaine.
En Amérique du Sud, on peut parler d’une Française d’une Turque, d’une Suédoise ou même d’une Russe.
Les anglais parlent quant à eux d’un French Fuck ou d’un Tit Fuck (très pragmatique).
A croire que la branlette espagnole n’a finalement pas vraiment de nationalité, que chaque pays a vaguement choisi un nom de nationalité par rapport à une image de femme généreuse à forte poitrine, dont ce serait vraiment dommage de se priver.
Sur ce, je retourne à mes transactions immobilières,
Des bisous,
Alfred.
Laisser un commentaire